Poesie in lingua straniera


Scritta da: Silvana Stremiz
in Poesie (Poesie in lingua straniera)
Tell as a Marksman - were forgotten
Tell - this Day endures
Ruddy as that Coeval Apple
The Tradition bears -
Fresh as Mankind that humble story
While a statelier Tale
Grown in the Repetition hoary
Scarcely would prevail -

Tell had a son - The ones that knew it
Need not linger here -
Those who did not to Human nature
Will subscribe a Tear -

Tell would not bare his Head
In Presence
Of the Ducal Hat -
Threatened for that with Death - by Gessler -
Tyranny bethought

Make of his only Boy a Target
That surpasses Death -
Stolid to Love's supreme entreaty
Not forsook of Faith -

Mercy of the Almighty begging -
Tell his Arrow sent -
God it is said replies in Person
When the Cry is meant.
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    Scritta da: Silvana Stremiz
    in Poesie (Poesie in lingua straniera)

    Fille d'acier

    Je n'aimais personne dans le monde
    Je n'aimais personne sauf celui que j'aimais
    Mon amant mon amant celui qui m'attirait
    Maintenant tout a changé est-ce lui qui a cessé de m'aimer
    Mon amant qui a cessé de m'attirer est-ce moi?
    Je ne sais pas et puis qu'est-ce ça pet faire tout ça?
    Maintenant je suis couchée sur la paille humide de l'amour
    Toute seule avec tous les autres toute seule désespsèrée
    Fille de fer-blanc fille rouillée
    O mon amant mon amant mort ou vivant
    Je veux que tu te rappelles autrefois
    Mon amant celui qui m'aimait et que j'aimais.
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      Scritta da: Silvana Stremiz
      in Poesie (Poesie in lingua straniera)
      What did They do since I saw Them?
      Were They industrious?
      So many questions to put Them
      Have I the Eagerness
      That could I snatch Their Faces
      That could Their lips reply
      Not till the last was answered
      Should They start for the Sky -

      Not if the Just suspect Me
      And offer a Reward
      Would I restore my Booty
      To that Bold Person, God,

      Not if Their Party were waiting,
      Not if to talk with Me
      Were to Them now, Homesickness
      After Eternity.
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        Scritta da: Silvana Stremiz
        in Poesie (Poesie in lingua straniera)

        Cet amour

        Cet amour
        Si violent
        Si fragile
        Si tendre
        Si désespéré
        Cet amour
        Beau comme le jour
        Et mauvais comme le temps
        Quand le temps est mauvais
        Cet amour si vrai
        Cet amour si beau
        Si heureux
        Si joyeux
        Et si dérisoire
        Tremblant de peur comme un enfant dans le noir
        Et si sûr de lui
        Comme un homme tranquille au milieu de la nuit
        Cet amour qui faisait peur aux autres
        Qui les faisait parler
        Qui les faisait blêmir
        Cet amour guetté
        Parce que nous le guettions
        Traqué blessé piétiné achevé nié oublié
        Parce que nous l'avons traqué blessé piétiné achevé nié oublié
        Cet amour tout entier
        Si vivant encore
        Et tout ensoleillé
        C'est le tien
        C'est le mien
        Celui qui a été
        Cette chose toujours nouvelles
        Et qui n'a pas changé
        Aussi vraie qu'une plante
        Aussi tremblante qu'un oiseau
        Aussi chaude aussi vivante que l'été
        Nous pouvons tous les deux
        Aller et revenir
        Nous pouvons oublier
        Et puis nous rendormir
        Nous réveiller souffrir vieillir
        Nous endormir encore
        Rêver à la mort
        Nous éveiller sourire et rire
        Et rajeunir
        Notre amour reste là
        Têtu comme une bourrique
        Vivant comme le désir
        Cruel comme la mémoire
        Bête comme les regrets
        Tendre comme le souvenir
        Froid comme le marbre
        Beau comme le jour
        Fragile comme un enfant
        Il nous regarde en souriant
        Et il nous parle sans rien dire
        Et moi j'écoute en tremblant
        Et je crie
        Je crie pour toi
        Je crie pour moi
        Je te supplie
        Pour toi pour moi et pour tous ceux qui s'aiment
        Et qui se sont aimés
        Oui je lui crie
        Pour toi pour moi et pour tous les autres
        Que je ne connais pas
        Reste là
        Là où tu es
        Là où tu étais autrefois
        Reste là
        Ne bouge pas
        Ne t'en va pas
        Nous qui sommes aimés
        Nous t'avons oublié
        Toi ne nous oublie pas
        Nous n'avions que toi sur la terre
        Ne nous laisse pas devenir froids
        Beaucoup plus loin toujours
        Et n'importe où
        Donne-nous signe de vie
        Beaucoup plus tard au coin d'un bois
        Dans la forêt de la mémoire
        Surgis soudain
        Tends-nous la main
        Et sauve-nous.
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          Scritta da: Silvana Stremiz
          in Poesie (Poesie in lingua straniera)

          Friendship

          And a youth said, "Speak to us of Friendship".
          And he answered, saying:
          Your friend is your needs answered.
          He is your field which you sow with love and reap with
          thanksgiving.
          And he is your board and your fireside.
          For you come to him with your hunger, and you seek
          him for peace.
          When your friend speaks his mind you fear not the
          "nay" in your own mind, nor do you withhold the "ay".
          And when he is silent your heart ceases not to listen to
          his heart;
          For without words, in friendship, all thoughts, all
          desires, all expectations are born and shared, with joy
          that is unacclaimed.
          When you part from your friend, you grieve not;
          For that which you love most in him may be clearer in
          his absence, as the mountain to the climber is clearer
          from the plain.
          And let there be no purpose in friendship save the
          deepening of the spirit.
          For love that seeks aught but the disclosure of its own
          mystery is not love but a net cast forth: and only the
          unprofitable is caught.
          And let your best be for your friend.
          If he must know the ebb of your tide, let him know its
          flood also.
          For what is your friend that you should seek him with
          hours to kill?
          Seek him always with hours to live.
          For it is his to fill your need, but not your emptiness.
          And in the sweetness of friendship let there be
          laughter, and sharing of pleasures.
          For in the dew of little things the heart finds its.
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